[ 5 mai 2021 ]

Se préparer efficacement à l’examen d’accès au Centre Régional de Formation Professionnelle d’Avocats (CRFPA) 2021

Qu’est-ce que la Prépa Dalloz ?

C’est une prépa à taille humaine qui existe depuis 13 ans et qui se consacre exclusivement aux personnes qui passent le CRFPA (étudiants et juristes au sens large). Nous préparons les futurs avocats tout au long de l’année et bien entendu pendant les trois mois qui précèdent l’examen. L’accompagnement est au cœur de nos priorités. Cela signifie que nous aidons les étudiants à organiser leur planning de révisions, à acquérir la méthodologie des épreuves, à maîtriser le temps de composition et à réussir le grand oral grâce à des webclasses mensuelles en direct. Pendant ces classes virtuelles, l’étudiant peut poser toutes ses questions en live et il se sent réellement accompagné. 

Quels sont vos objectifs ?

L’objectif principal de la Prépa Dalloz est évidemment la réussite de tous nos étudiants au CRFPA. Nous les aidons à comprendre parfaitement les attentes des correcteurs à l’examen. Nous les aidons à identifier leurs points forts et surtout à corriger leurs points faibles à la fois sur la méthode mais également sur les connaissances.

Comment vous êtes-vous adaptés au contexte sanitaire ?

Nous sommes conscients qu’un étudiant déprimé ou très angoissé risque d’échouer au CRFPA. La période tourmentée que nous traversons nous a donc permis de repenser l’accompagnement des étudiants notamment en accentuant le suivi psychologique. Nous avons intensifié le nombre de webclasses en live dans toutes les matières du CRFPA et surtout, nous avons organisé des séances de coaching pendant lesquelles nous échangeons sur leurs difficultés et nous essayons de leur trouver des solutions au cas par cas. 

Comment envisagez-vous les examens de 2021 ?

Je pense que l’épidémie de covid-19 ne doit pas être un frein au passage du CRFPA en 2021, bien au contraire. L’activité des universités et des IEJ ayant été fortement réduite, nous pouvons espérer une forme d’ « indulgence » des examinateurs et des rédacteurs de sujets. Cela a d’ailleurs été le cas en 2020 sur l’épreuve de droit des obligations qui ne présentait moins de difficultés qu’en 2018 et 2019. Je pense également que certains étudiants vont finalement décider de ne pas passer l’examen cette année, ce qui devrait mathématiquement augmenter les chances de réussite de ceux qui ne baisseront pas les bras.