[ 8 octobre 2009 ]

La pipette était presque parfaite…

Alors que la question de la maternité de substitution a refait surface en France et que le débat sur l’opportunité de légaliser la pratique des mères porteuses est relancé, la récente mésaventure d’une maman américaine invite non pas évidemment à prendre parti dans un sens ou dans un autre, mais uniquement à détendre l’atmosphère… Inséminée artificiellement, une citoyenne de l’Ohio a appris que, suite à une erreur de la clinique, elle ne portait pas l’embryon conçu avec son époux mais celui conçu par un autre couple… Glups ! Ce qu’on brûle de connaître évidemment ce sont les développements judiciaires de l’affaire des embryons congelés et mélangés… Car si la mère porteuse a très honnêtement affirmé que l’enfant qu’elle a portée serait remis à ceux qui l’avaient conçu, elle n’a rien dit sur le sort qu’elle réservait à la distraite clinique. Or, il ne faut pas être grand clerc pour pressentir qu’en termes de responsabilité, ça risque de chauffer bigrement pour l’établissement de santé qui mélange négligemment les embryons… Nos équipes suivent tout ça de très près…